{"id":1143,"date":"2019-11-13T16:10:26","date_gmt":"2019-11-13T15:10:26","guid":{"rendered":"https:\/\/www.eta-nz.online\/?p=1143"},"modified":"2024-09-05T17:46:04","modified_gmt":"2024-09-05T15:46:04","slug":"payer-taxe-environnementale-entrer-nouvelle-zelande-cest-desormais-cas","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.getnzeta.com\/article\/payer-taxe-environnementale-entrer-nouvelle-zelande-cest-desormais-cas\/","title":{"rendered":"Taxe IVL et NZeTA"},"content":{"rendered":"
Il est demand\u00e9 aux touristes souhaitant visiter la Nouvelle-Z\u00e9lande de payer une taxe touristique pour pr\u00e9server l’environnement (appel\u00e9e IVL). Cette mesure ne s’adresse pas aux d\u00e9tenteurs d’un Working Holiday n\u00e9o-z\u00e9landais. Quelle est la marche \u00e0 suivre pour payer cette taxe ?<\/em> <\/p>\n Depuis le 1er octobre 2019, le gouvernement n\u00e9o-z\u00e9landais a mis en place une taxe d’entr\u00e9e pour les touristes. Il faut pr\u00e9voir un budget suppl\u00e9mentaire dans vos vacances (en comptant aussi le prix du NZeTA lorsque cela vous concerne). Cette taxe a surtout pour but de permettre de financier la protection de l’environnement et les diff\u00e9rentes infrastructures dont profitent les touristes lorsqu’ils visitent le pays. Cette taxe a \u00e9t\u00e9 mise en place car, d’apr\u00e8s une \u00e9tude, le tourisme est responsable de 8% des \u00e9missions mondiales de gaz \u00e0 effet de serre.<\/p>\n Pour la taxe IVL (International Visitor Conservation and Tourism Levy), il faut compter environ 35 dollars n\u00e9o-z\u00e9landais (19 €<\/span>). Elle est comprise dans les frais associ\u00e9s \u00e0 la demande de NZeTA. Attention, \u00e0 partir du 1er octobre 2024, son montant passe \u00e0 100 NZD (56 \u20ac)<\/strong>. La taxe est valable pendant 2 ans et l’expiration du NZeTA.<\/p>\n Les visiteurs internationaux qui demandent un NZeTA sont soumis \u00e0 la taxe, y compris ceux venant de pays exempt\u00e9s de visa pour un s\u00e9jour de courte dur\u00e9e (90 jours ou moins). Cette disposition ne concerne pas les ressortissants n\u00e9o-z\u00e9landais, australiens, diplomates, personnes ayant des visas n\u00e9o-z\u00e9landais, les titulaires de carte de voyage Business Visa ou APEC et les passagers en transit sans r\u00e9cup\u00e9ration de bagages.<\/p>\n Cela change aussi des choses au niveau des visas. En effet, si encore r\u00e9cemment les ressortissants de plusieurs pays europ\u00e9ens dont la France pouvaient faire une demande de visa gratuit ou tout simplement \u00eatre exempt\u00e9s de visa, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Il leur faudra faire une demande de NZeTA (New Zealand Electronic Travel Authorization) pour avoir le droit d’entrer en Nouvelle-Z\u00e9lande. La demande pour cette autorisation doit obligatoirement se faire sur Internet ou bien depuis une application gratuite \u00e0 t\u00e9l\u00e9charger sur son smartphone. Comptez au minimum 17 dollars NZ (9 €<\/span>) de frais consulaires depuis l’application ou 23 dollars NZ (12 €<\/span>) depuis Internet).<\/p>\n Les voyageurs en transit dans les a\u00e9roports ou les passagers d’une croisi\u00e8re en escale dans un port n\u00e9o-z\u00e9landais sont \u00e9galement tenus d’avoir une autorisation de voyage (appel\u00e9e alors NZETA) et donc de payer la taxe \u00e9cologique mise en place. Les voyageurs en PVT sont aussi concern\u00e9s par le NZeTA en Nouvelle-Z\u00e9lande.<\/p>\nTaxe environnementale IVL : d\u00e9finition<\/h2>\n
Quels changements pour les visas ?<\/h2>\n